Hôtel dit demeure
Hôtel de Bruges à Valréas au 13 Grande Rue
Hôtel dit Demeure
Histoire : Disposition générale du milieu du 18e siècle ; élévation refaite à la fin du 18e siècle
Adresse : Grande Rue 13
Type : Inventaire général du patrimoine culturel
Epoque : milieu 18e siècle ; 4e quart 18e siècle
Auteur(s) : maître d'oeuvre inconnu
HÔTEL DE BRUGES à VALREAS (84)
L’Hôtel de BRUGES, hôtel particulier datant de la fin du XVIIème siècle fait partie du patrimoine de Valréas.
Lorsque son actuel propriétaire en fait l’acquisition, cette belle demeure était depuis longtemps à l’abandon.
Sa réhabilitation lui a permis de retrouver son caractère authentique.
Le programme de cette ambitieuse réhabilitation était simple: Restauration complète des toitures, des planchers et de tout le second œuvre.
La cour centrale, s’ouvre sur deux arcades, l’une conduisant au jardin, l’autre à la première volée de l’escalier rampe sur rampe.
Cette cour, qui est en fait le prolongement du vestibule, est couverte par une verrière
Source : ICI
Hôtel d'Aultane au 36 grande rue
Hôtel d'Aultane
Histoire : Trois corps de bâtiment du 1er quart du 16e siècle ; le 4e du 17e siècle
Adresse : Grande Rue 36
Type : Inventaire général du patrimoine culturel
Epoque : 1er quart 16e siècle ; 17e siècle
Auteur(s) : maître d'oeuvre inconnu
Joseph Augustin Fournier de Loysonville dit d'Aultanne , 18/8/1759 Valréas-7/1/1828 Valréas, marquis d'Aultane , général de division français, 18/8/1759 Valréas- 7/1/1828 Valréas.
Il participe à la campagne d'Autriche,(Austerlitz, Iéna, Pulstuck, Eylau, Friedland).
L'Empereur le nomma gouverneur de Varsovie, le fit baron de l'Empire par lettres patentes du 2/7/1808, et l'envoya en Espagne en qualité d'aide-major général de l'armée.
Louis XVIII lui conféra le titre de marquis et le fit grand officier de la Légion d'honneur et Commandeur de l’ordre de Saint-Louis (1819),
Son nom est inscrit sur l'arc de triomphe de l'Étoile.
Source : ICI
C’était un Hôtel particulier du XVI éme siècle, endormi avec son riche passé historique.
Depuis le départ de la famille du Général de division et Marquis d’Aultane, vers 1830, cette demeure sera redistribuée en appartements et subira plusieurs restaurations malheureuses.
Après son acquisition en l’an 2000, par l’actuel propriétaire, un chantier investissait les lieux, le temps que le noble édifice retrouve l’âme de son passé.
Les façades ont donc renouées avec le souvenir de la belle ordonnance renaissance tout en “tutoyant”des éléments d’architecture du XIII siècle, eux-mêmes remis en valeur.
Après les démolitions des cloisonnements incongrus du siècle dernier, il ne s’agissait pas de créer dans le crée, car tout était là, ne demandant qu’à être réveillé.
Ainsi les espaces de charmes et de poésie aux ambiances variés et intimes, bien intégrés dans l’architecture, contribuent à la paix et la quiétude des lieux si cher à Georges BERNANOS.
Source : Michel Gamard
Grande rue n° 17
Hôtel dit Demeure
Histoire : Escalier en vis à la limite des 15e siècle et 16e siècle ; reconstruction dans la 1ère moitié du 19e siècle
Adresse : Grande Rue 17
Type : Inventaire général du patrimoine culturel
Epoque : limite 15e siècle 16e siècle ; 1ère moitié 19e siècle
Auteur(s) : maître d'oeuvre inconnu
Escalier en vis
Saviez-vous pourquoi les escaliers à vis des ouvrages défensifs du Moyen Age étaient construits dans le sens des aiguilles d’une montre en montant ?
C’est pour que le défenseur, du haut de l’escalier ait l’avantage d’une plus grande liberté de mouvement de la main droite qui porte l’épée. L’assaillant, sauf si il est gaucher, est géné par le noyau central de l’escalier qui limite ses mouvements.
Il faut préciser cette convention pour décrire le sens de rotation : on regarde toujours l’escalier à partir de son niveau de départ et on décrit la rotation en montant, dans le sens des aiguilles d’une montre (dit aussi sens horaire, ou rotation à droite) ou dans le sens inverse des aiguilles d’une montre (on dit aussi sens anti-horaire ou rotation à gauche).
Source : ESCALIER EN VIS